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Par Monelle le 9 Octobre 2013 à 05:00
Mercredi dernier je suis partie , en solitaire, à la découverte d’un nouveau parc (pour moi), situé dans une commune faisant partie du Grand-Lyon : Saint-Genis-Laval…
Le parc de Beauregard
L'aménagement de la propriété de Beauregard date du XVIème siècle et témoigne de la richesse de la famille des Gadagne dont un musée lyonnais porte le nom.
Du château de Beauregard, résidence d'été du banquier florentin Thomas de Gadagne, il ne reste que quelques ruines, mais les jardins, le nymphée et l'orangerie donnent une idée de la beauté du lieu.
C'est en 1526 que Pierre de Gadagne acquiert une propriété construite et aménagée au XVème siècle par Gaspard de Chanvey, châtelain de Saint-Genis-Laval.En 1978, Beauregard est racheté par la commune de Saint-Genis-Laval.
(textes du web)
Pendant ma promenade j’ai fait de jolies découvertes. Aménagé sur 5 terrasses, chacune a son décor. J’ai fait le parcours en partant du bas où de gentils canards m’ont souhaité la bienvenue, puis au détour de l’allée je me suis crue sur le site de Fourvière, une « allée romaine » m’attendait bordée de petits bassins…
Je suis montée ensuite à la découverte des autres terrasses la première n’étant pas accessible, les autres oui. Des arbres séculaires offraient une ombre bienvenue car il faisait plutôt chaud.
Arrivée à la dernière j’ai pu y voir les différentes ruines du château…
De plus, jouxtant le parc, il y a un grand complexe sportif, dont 5 à 6 terrains de foot qui étaient tous occupés !!
Regardez comme il est beau ce parc !!! Merci de patienter quelques secondes avant que les images ne défilent !!
En rejoignant le centre-ville pour reprendre mon bus, j’ai croisé un joli puits…
… et suis allée dire bonjour à la belle église…
Vraiment une très jolie balade pleine de surprises. J’ai regretté que ma « complice » ne soit pas là, mais nous y retournerons…
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Par Monelle le 19 Septembre 2013 à 05:00
Journées du Patrimoine et Biennale de Lyon 2013, ont débuté en même temps et, ce dimanche, Jacqueline et moi avons opté pour la Biennale, désireuses de rester proches de nos quartiers. La visite étant rapide nous partons, l’APN en mains faire la visite de l’environnement de la Chaufferie de l’Antiquaille, ancien hôpital dont je vous parlerai plus bas.
La chaufferie - Photo du Net
Située à quelques centaines de mètres de l’Église Saint-Just et du théâtre antique de Lyon, l’ancienne Chaufferie de l’hôpital de l’Antiquaille accueillait, dans ses 300 m² d’architecture industrielle des années 30, deux œuvres majeures de Zhang Ding que voici :
Maintenons parlons de l’ ……
Hôpital de l’Antiquaille
Ou plus exactement de l’EX…
En 2003, la fermeture de l'hôpital de l'Antiquaille, exactement deux cent ans après son installation, a fourni l'occasion de se pencher sur l'histoire de ce lieu. Implanté sur le haut des pentes de la colline de Fourvière et jouissant d'un panorama d'une vaste étendue, le site de l'Antiquaille était placé au cœur de la ville gallo-romaine, dans un quartier qui devait être déserté au Moyen-Age au profit des vignes. C'est dans cette zone que se sont bâties au XVIe siècle de riches maisons de campagnes, et notamment celle du célèbre humaniste Pierre Sala.
Ses descendants la font reconstruire dans de plus vastes dimensions. Au XVIIe siècle, les visitandines transforment cette demeure en couvent en y adjoignant un cloître et une église. La Révolution disperse les religieuses et entraîne la disparition des beaux décors intérieurs qu'elles avaient faits réaliser. En 1803, s'installe dans les bâtiments libérés un hospice dont deux fonctions s'affirment très vite : l'accueil des aliénés et le traitement des maladies vénériennes.
Peu à peu cet hospice devient un hôpital indépendant dont la gestion, faisant plus appel aux fonds publics qu'à la charité, est particulièrement novatrice pour l'époque. Parallèlement, quatre constructions nouvelles développent avec ingéniosité les bâtiments conservés de l'ancien couvent, le corps en hémicycle dit la Rotonde se révélant une belle réussite architecturale. Cette période d'autonomie s'achève en 1845 avec l'intégration de l'hôpital au sein des Hospices civils de Lyon. Par la suite le développement se fera surtout dans le grand clos qui occupe la partie sud du site, tendant à donner à l'ensemble, par la construction de bâtiments indépendants, une allure d'hôpital pavillonnaire. Après le départ des aliénés en 1876-1877, et à côté de la création d'un hôpital généraliste de quartier, des spécialités se développent, sous la responsabilité de personnalités qui vont assurer le renom de l'Antiquaille.
Caveau de saint Pothin
En marge du couvent, une cavité souterraine devient au XVIIe siècle un lieu de culte à saint Pothin, premier évêque de Lyon, et aux premiers martyrs lyonnais, connu sous le nom de " caveau de saint Pothin ". Son apogée, à la fin du XIXe siècle, au sein de l'hôpital, est marqué par la création d'une chapelle souterraine somptueusement décorée sous la direction de l'architecte Sainte-Marie Perrin.
Je n’ai pu savoir si cette chapelle existe toujours ; j’espère que oui, vu sa richesse que l’on devine sur la photo trouvée sur le Net.
Quartier de L’antiquaille maintenant – photo du Net
J’ai essayé de résumer l’histoire de cet hôpital mais il y aurait tant de choses à dire !
Un petit diaporama sur notre balade …
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Par Monelle le 16 Septembre 2013 à 05:00
En ce week-end du patrimoine les deux inséparables décident d’aller voir en premier…
Eglise Saint-Irénée
L’église ainsi que le calvaire voisin datent du XIXè siècle. Cette église a remplacée l’une des plus anciennes églises de France. La crypte est consacrée aux martyrs de l'an 177 et des premiers évêques de Lyon.
La basilique Saint-Irénée abrite sans doute les reliques de Saint-Irénée, Saint-Epipoy et Saint-Alexandre : des écrits, notamment de Grégoire de Tours, décrivent une crypte contenant les reliques de ces trois saints. D’autres récits plus tardifs relatent également l’existence de ces tombeaux, dans la crypte de la basilique. Il est cependant difficile de connaître exactement la date de fondation de cet édifice. Néanmoins l’église Saint-Irénée est un des rares monuments lyonnais du haut Moyen-Age conservé partiellement en élévation et abritant une crypte.
On retrouve des sarcophages de cette époque à l'extérieur de l'église contre le mur d'enceinte qui auraient été exhumés dès le XIXe siècle. Un livrementionne dans la première moitié du XIXe siècle un «sarcophage en marbre blanc de Paros ; il était dans la cour de l'église Saint-Irénée. Il est difficile d'assigner une date précise à ce beau monument, mais le style de la sculpture porte à croire qu'il appartient à la première moitié du troisième siècle de notre ère. Cette pièce a été déplacée peu après sa découverte au musée des beaux-arts de Lyon, d'autres moins importantes datant du Ve siècle ont été laissées sur le site.
Le calvaire érigé derrière le chœur de l'église date de 1687. À flanc de colline, il surplombe la Saône et donne une vue panoramique sur la ville de Lyon. Restauré en 1817 et 1868, il reste l'un des seuls calvaires subsistant dans une grande ville.
Il est protégé par des grilles car sa vétusté ne permet pas de s’en approcher.
Il est complété par un chemin de croix du XIXè siècle constitué de ses quatorze tableaux dont deux, ceux qui encadrent le calvaire, sont placés dans une châsse en pierre. Il entoure le Chœur extérieur de l'église, impressionnant avec ses pierres de taille qui montent dans le ciel jusqu'à la tour-clocher qui le surplombe.
Les vitraux de la nef retracent la généalogies des tout premiers temps de l'histoire chrétienne de Lyon et ceux des côtés les portraits des grands martyrs de Lyon, Saint-Irénée, Sainte-Blandine, Saint-Alexandre et Saint Epipoy.
L'orgue qui date de 1855, possède 2 claviers de 54 notes, un pédalier de 30 notes et 17 jeux. Jamais restauré avant 1987, il sert aux offices religieux et à des concerts. Sa particularité est d'être installé sur la partie latérale gauche du chœur et non au-dessus de l'entrée où on le trouve le plus souvent et où il se situait à l'origine.
Cet arc, est le seul reste de la première église du Ve siècle.
La paroisse actuelle comprend les églises Saint-Irénée et Saint-Just, que nous sommes allé voir après. J’en parlerai dans un prochain billet.
Je vous laisse voir maintenant l'intérieur de l'église...
et de la crypte
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Par Monelle le 6 Septembre 2013 à 05:00
Deux aventurières (Jacqueline et moi) sont parties (sur mon initiative) à la découverte d’un nouveau parc lyonnais en cours d’aménagement…
Image du futur pris sur le Net
Le Parc du Vallon
Quatrième parc de la Ville de Lyon, le parc du Vallon bénéficie d'un réaménagement pour une livraison à l'automne 2013. Situé à la lisière de La Duchère, tout près d’Écully, le parc du Vallon est un véritable "poumon vert" de onze hectares d'espaces verts.
Il offrira une balade originale à travers 3 ambiances paysagères différentes : un jardin public au nord, 3 larges clairières au centre et un sous-bois au sud.
3 grandes aires de jeux seront créées dont un espace d'aventure.
Le ruisseau des Gorges, jusque-là enterré, sera porté à l'air libre sur une grande partie du parc. Le parc offrira 3 grandes séquences identifiées, les vallons "jardiné" (transitions avec la partie urbaine), "champêtre" (à usages libres) et "romantique" (pour le cheminement et la promenade).
Il y a encore beaucoup de travail à faire mais cela va faire un joli but de promenade si l’on en croit la petite vidéo que j’ai découverte sur le net (mettez le son) :
Notre balade
Arrivées à l’entrée, entre deux baraques de chantier, nous étions prêtes à rebrousser chemin et pour cause.
Que nenni… la curiosité l’a emporté et de cailloux en cailloux nous sommes arrivées à ça :
Notre balade a été très agréable car nous avons descendu tout le vallon, une heure à travers les allées déjà aménagées ou les chemins forestiers et les escaliers anciens ou nouvellement installés pour faciliter le parcours du dénivelé.
Vous venez, on refait la balade…
Un jour d’automne ensoleillé nous retournerons voir l’évolution de l’aménagement, sûrement, car la cerise sur le gâteau est qu’un bus me prend à ma porte et me dépose à l’entrée !!!!!!!
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Par Monelle le 3 Septembre 2013 à 05:00
Dimanche 1er septembre, inauguration des…
Devinez qui y est allé, Jacqueline et moi bien sûr ! Un beau soleil, une chaleur agréable et beaucoup de monde… mais que sont ces Rives de Saône ??? Voici un article qui vous dira tout…
La capitale des Gaules n'a pas de plage, mais elle est désormais dotée d'agréables Rives de Saône, en plus des berges du Rhône réaménagées depuis 2008. Ce dimanche toute la journée, les Lyonnais étaient invités à venir découvrir les bords de Saône entre la commune de Rochetaillée-sur-Saône et le centre de Lyon, soit un parcours de quinze kilomètres. De nombreuses animations étaient organisées, comme des jeux pour les enfants ou des courses de bateaux.
Le long du fleuve, le public a pu découvrir avec curiosité plusieurs œuvres d'art conçues par des artistes venus du monde entier. Bonne nouvelle, le beau temps était au rendez-vous, et les Grand Lyonnais ont donc pu pleinement profiter d'un des derniers dimanches ensoleillés.
Bien entendu nous n’avons pas fait tout le parcours, mais il sera facile de le faire en plusieurs fois… de belles promenades en perspectives !!!
Départ devant le Palais de Justice rénové et sa nouvelle esplanade agrémentée de petits jets d’eau rafraîchissants…
Beaucoup de monde disais-je mais aussi beaucoup de bateaux sur l’eau, des gros, des petits et même des véliplanchistes. Des œuvres d’art aussi tel celle de Pablo Reinoso avec son Nouages qui imite les cordages de bateaux pour en faire des bancs, s'immisçant dans les niches situées sous les doubles escaliers.
Photo du Net (trop de monde devant sur la mienne)
Je vous propose mes premières photos prises sur ce nouveau terrain de jeux des lyonnais mais il y en aura d’autres…
A bientôt pour une autre balade !!!
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Par Monelle le 30 Août 2013 à 05:00
Un jeudi matin… l’empereur, sa femme et le p’tit prince… pardon, JE décide d’aller faire un tour au marché de la Croix-Rousse, vous savez la colline qui travaille !!! Il est 9 h. il fait beau mais l’air est encore frais, temps idéal pour prendre le chemin des écoliers. Le bus ? juste pour grimper et redescendre la colline… une heure et demi de flannerie et des économies…
1 E 50 le kg de fruits et j’ai trouvé de la Cervelle de Canut **En flânant j’ai salué M. Jacquart, l'inventeur du métier à tisser…
Puis fais un coucou au Gros Caillou qui regarde la ville depuis son esplanade tout comme ces consommateurs en savourant leur café …
Vu un bâtiment avec de jolies fenêtres…
Et même une boucherie qui offre des sièges confortables à ses clients…
Des pigeons qui se promènent ou se dorent au soleil…
Ou encore un petit bateau sur lequel j’aurais bien embarqué pour une balade…
Elle n’est pas belle la vie des mamies qui font leur marché... Un APN en main ????
** Recette de la cervelle de Canut
Pour 6 personnes
Ingrédients :- 200 g de fromage de chèvre frais
- 10 cl de vin blanc des Coteaux du Lyonnais
- 1 filet de vinaigre
- 10 cl de crème fraîche épaisse
- 1 filet d’huile d’olive
- 1 gousse d’ail
- 2 échalotes
- Fines herbes : ciboulette, persil
- Sel et poivre
Laisser reposer la cervelle de canut une nuit entière au réfrigérateur. Mélanger à nouveau avant de servir.Au travail :
1- Battez le fromage de chèvre frais avec la crème fraîche. Ajoutez 1 filet de vinaigre, un filet d’huile d’olive. Salez et poivrez.2- Incorporez au mélange, les fines herbes, la ciboulette et le persil découpés au couteau, l’ail et les échalotes hachés finement et les 10 cl de Coteaux du Lyonnais.
3- Laissez reposer la cervelle de canut une nuit entière au réfrigérateur. Mélangez à nouveau avant de servir.
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Un lien a été fait entre cette spécialité Lyonnaise et la révolte des Canuts à Lyon, qui commença lors de la Monarchie de juillet. Ce nom était censé rappeler la piètre opinion que les bourgeois de Lyon avaient des ouvriers de la soie qui luttèrent durant cinq ans et furent écrasés par la répression militaire.
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Par Monelle le 27 Août 2013 à 09:10
Le parc de la Tête d'Or a été conçu sur le modèle du jardin anglais. Il intègre un lac de 16 hectares créé à partir d'un bras du Rhône ainsi qu'un parc zoologique et un jardin botanique.
Situé sur les bords du Rhône, le Parc de la Tête d'Or couvre une superficie de 105 hectares. On y pénètre par 7 entrées, dont la plus remarquable est la porte des Enfants du Rhône qui ouvre sur la perspective d’un lac de 16 hectares, centre de la composition paysagère.
Les vastes pelouses d'esprit romantique alternent avec des bosquets d'arbres plus que centenaires. Les massifs fleuris, les parterres de roses ou de pivoines, apportent en toutes saisons des touches colorées et parfumées. Le Parc de la Tête d'Or est ouvert au public et son entrée est gratuite. Il demeure aujourd'hui un des plus grands et plus beaux parcs urbains de France.
Les arbres
Le Parc englobe plus de 8 800 arbres dont 36,5 % de résineux , 61,0 % de feuillus, 2,5 % d'essences rares. Parmi les sujets remarquables, on relève des platanes atteignant 40 mètres de hauteur, des cèdres du Liban, des tulipiers de Virginie, des ginkgos biloba, des cyprès chauves. Un guide- promenade des arbres remarquables est disponible à l’accueil du Parc.Il y a aussi les sculptures disséminées dans le parc, telles que ;
Vous venez faire une promenade sous les frondaisons ????
Les canuts ouvriers tisserand en chômage furent employés aux travaux du parc de la Tête d’or. Un lac fut réalisé des îles furent conservées :
Une petite « les Tamaris »
La grande île ou sera construit ultérieurement un vélodrome
Une plus grande : l’île des cygnes ou fut construite le monument aux morts de la guerre de 1914/18 œuvre de l’architecte Tony GARNER . On y accède par un passage souterrain.Et pour terminer une petite balade autour du lac …
Voilà cette balade est terminée, pour ma part je pense aller y faire de nouvelles découvertes très bientôt.
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Par Monelle le 23 Août 2013 à 05:00
Ayant remarqué que vous aviez apprécié mes deux premiers articles, j’ai décidé de vous emmener visiter…
Vue aérienne de la Roseraie (ph. du net)
La Roseraie
En 1980 est créée, devant l’Orangerie, la roseraie dite « historique » sur 1600 m² avec 570 variétés permettant de retracer l’histoire de la culture des roses.
En 1964, la nouvelle roseraie est inaugurée. Elle comprend 60.000 rosiers représentant les 320 variétés les plus fréquentes en France et en Europe. Elle s’étend sur 5 hectares. Elle devient le siège de la Société française des roses. (Je ne vous garantis pas les chiffres car les différents articles lus ne mentionnent jamais les mêmes !!! )
Tous ces rosiers sont présentés dans de jolis décors et laissent une petite place aux autres fleurs dès le printemps : tulipes, rhododendrons, ancolies, iris, etc…
Pour la visite j’ai d’abord fait un tri parmi les deux ou trois cents photos que j’ai du parc (pas facile de choisir) et ensuite un montage avec Photoscap (merci Cristelle) qui, je l’espère, permettra de voir toutes les photos à ceux qui ne peuvent visionner les diapos !!
Après le chiffre 3 il me semble que vient le 4…… alors à mardi, et oui je vais reprendre un rythme de deux billets par semaine… Il faut bien que les vacances s’arrêtent un jour !!!
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Par Monelle le 16 Août 2013 à 05:00
Après le Jardin Botanique et un coucou aux biches en pleine sieste
et malgré la chaleur humide ambiante j’ai poursuivi ma visite par……
Les Grandes Serres du Parc de la Tête d’Or
Les Grandes Serres Tropicales ont été construites en 1880.
Elles couvrent une surface au sol de 1900 m2
Le Pavillon Central fait 21 mètres de haut.Face à l’entrée des Grandes serres tropicales, la statue de Bernard de Jussieu, grand botaniste français né à Lyon le 17 août 1699.
Docteur en médecine, il est nommé professeur de botanique au Jardin du Roi à Paris en 1722. Il est à l’origine d’une classification morphologique des plantes et on lui doit de ce fait la distinction entre Monocotylédones et Dicotylédones.Relevé ce texte sur un article… j’ai bien aimé :
La serre tropicale, c'est tout à la fois l'origine du monde, la moiteur protectrice de la vie intra-utérine, la profusion de formes et de couleurs du vivant végétal, l'élégance lumineuse d'une architecture du fer et de la fonte, le tropisme de la conservation muséographique comme défi au temps et à la mort.
J’ai traversé l’allée et suis entrée dans……
Les Petites Serres
Photo du net
Les petites serres sont construites en 1897-1898 à leur emplacement actuel. Les trois nouveaux groupes de serres : froides, tempérées et chaudes sont indépendantes les unes des autres pour éviter la perte de chaleur. Leur taille (3800 m2 au total) et leur forme a été inspirée des serres du Jardin Botanique de Bruxelles qui font partie des plus modernes de l’époque.Quelques autres photos…
Voilà, la balade est terminée !!!!
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Par Monelle le 9 Août 2013 à 07:52
Je n’ai pas suivi le jardinier passionné du Parc mais comme une grande j’ai découvert les collections de plantes exotiques venues du monde entier, c'était en juin dernier par un jour (innattendu) de grand soleil ! Les serres viendront plus tard mais d’abord……
Le jardin botanique du Parc de la Tête d’Or
Savez-vous que le nom de "Tête d'Or" provient d'une légende selon laquelle un trésor avec une tête de Christ en or serait enfoui à cet endroit.
Fondé en 1793 sur les pentes de la Croix-Rousse, le Jardin botanique a été transféré dans le parc de la Tête d'or à sa création. Ces collections de plantes réparties dans les serres (6500m²) et dans les jardins de plein air (6,3 ha) permettent de découvrir la flore du monde entier.
Cet ensemble, la 6ème collection mondiale, est pour le grand public à la fois une invitation au voyage, mais également un lieu d'éducation à la préservation de l'environnement. Par ces programmes de recherches et de conservation, le jardin botanique participe au maintien de la biodiversité.
Gare aux épines de cactus et autres en regardant le diaporama et attention les « gardiens » vous surveillent……
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