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     En ce moment c'est la Fête de la Rose à Lyon, je n'y suis pas allée car je ne peux marcher trop longtemps, mais cela ne m'empêche pas de vous en parler...

     

    Fête de la Rose à Lyon !

     

    Une première pour la France, la Fédération Mondiale des Sociétés de Roses a choisi la France et Lyon pour accueillir son 17ème congrès : Lyon Roses 2015.

    Depuis près de 200 ans, Lyon et sa région exercent une influence prépondérante et reconnue dans le monde de la rose.

    Premier hybride de thé, puis premier hybride de thé jaune… Des dynasties familiales de créateurs de roses ont assuré le rayonnement mondial de la région. Depuis 5 générations, les familles Ducher, Guillot, Laperrière et Meilland, toujours en activité aux côtés d'autres rosiéristes reconnus, continuent à maintenir cette renommée.

    Voici une des réalisations (photo du net) – il s'agit de la fontaine de la Place des Jacobins

     

    Fête de la Rose à Lyon !

     

    Pour fleurir mon article voici quelques photos prises au Parc de la Tête d'Or prises au cours de mes nombreuses balades :

    Fête de la Rose à Lyon !

     

    Fête de la Rose à Lyon !

     Je vous laisse avec ces belles couleurs et vous souhaite une.....

    Fête de la Rose à Lyon !

     

     

     


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    Louise Labé (1524-1566)

     

     



    Poétesse de l'école lyonnaise formée autour de Maurice Scève, qui fut l'une des plus grandes femmes de lettres du XVIe siècle.

     Née à Lyon, elle était la fille d'un riche cordier, Pierre Charly (ou Charlin), surnommé Labé. Elle reçut une bonne éducation «!à l'italienne!» - enseignement de l'italien, du latin et de la musique - et fut instruite au maniement des armes. Autour de 1543, son mariage avec un cordier lui valut son surnom de « Belle Cordière ».

    L'œuvre de Louise Labé, publiée intégralement en 1555, est composée essentiellement d'élégies et de sonnets amoureux, qui furent écrits entre 1545 et 1555. Ces poèmes, d'une grande rigueur formelle, se distinguent des œuvres contemporaines par leur ardeur, leur spontanéité et la sincérité des sentiments exprimés, en même temps que par une philosophie de l'amour d'inspiration platonicienne. 

     

    Page de titre de l'édition de 1556 de ses œuvres

     

    Je l'imagine, elle a les yeux noisettes
    Je les aurais pour moi bleus préférés
    Mais ses cheveux sont blonds comme vous êtes
    ô mes cheveux mordorés et dorés

     

     écrit Louis Aragon dans un poème que lui inspira les amours avec Olivier de Magny de la légendaire Louise Labé (1524-1566), qui, dit-on, s'habilla parfois en garçon, fit des tournois et même la guerre, et ce qui est mieux, fit l'amour avec délectation  et le chanta avec ferveur.

     

     

     Elle figure sur le Mur des Livres à Lyon

     

    Un exemple de ses poèmes :

     

    Vivons, ma Lesbie, pour nous aimer,
    Et moquons-nous des vains murmures
    Des tristes vieillards.
    Les soleils peuvent s'éteindre et se rallumer ;
    Pour nous, lorsque s'est éteinte la brève lumière,
    Il nous faut dormir une nuit éternelle.
    Donne-moi mille baisers, puis cent,
    Puis mille autres, puis encore cent,
    Puis mille autres, puis cent.
    Alors, après que nous aurons donné des milliers de baisers,
    Brouillons-en le compte, au point de ne plus savoir,
    Et que ce compte impossible pour nous comme pour eux
    Nous mette hors d'atteinte des jaloux.

     

    Bien d'autres encore - plus savoureux - et si vous voulez la mieux connaître, rendez-vous sur le Net !

     

    Poétesse : Louise Labé

     


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    Le retable dispersé ...

     

    Le retable dispersé ...

     

    Le retable dispersé ...

     

    Le Musée des beaux-arts de Lyon a proposé (au printemps 2006) à la curiosité des visiteurs un objet insolite, conservé dans le département des objets d'art: près d'une trentaine de plaques rectangulaires émaillées représentant des figures de saints en pied, peintes en de chatoyants coloris sur fond noir, leur nom inscrit en lettres d'or.

    Le retable dispersé ...

     Sainte Marthe

     

    Cet ensemble incomplet, homogène dans sa technique de réalisation comme dans sa datation (un émail limousin de la fin du XVIe et du commencement du XVIIe siècle), mais non dans la manière picturale qui laisse supposer plusieurs mains et diverses influences, appartenait à un important fabricant d'étoffes lyonnais, Didier-Petit de Meurville.

    Le retable dispersé ...

     

    Des photographies de l'époque montrent le retable au complet, enchâssé dans un cadre en bois doré du XIXe siècle. Didier-Petit aurait souhaité le transmettre, ainsi que les objets de sa collection, au musée de la Ville de Lyon. Les édiles ayant décliné son offre, il fut contraint de vendre sa collection, dispersée comme tant d'autres précieuses collections lyonnaises de cette période qui ornent aujourd'hui les plus importants musées européen.

    Le retable dispersé ...

    Sainte Agnès

     

    Démembré, réduit à une suite de pièces dont la cohérence est rien moins qu'évidente, cet objet dormait dans les réserves du Musée, connu des seuls spécialistes qui s'accorde à voir cet ensemble, depuis la fin des années 1980, le plus important retable émaillé connu de cette période. Les choses changèrent en 2003, lorsque le musée acquit l'une des plaques dont on ignorait la localisation depuis 1843, celle qui représente Marie-Madeleine.


    Le retable dispersé ...
    Sainte Marie-Madeleine

     

    Cet achat fut l'occasion de reprendre l'étude antérieure, et l'exposition, en rassemblant les pièces dispersées dans les collections françaises (il y en a d'autres localisées dans diverses institutions étrangères), a proposé au visiteur d'emboîter le pas au chercheur et d'explorer ainsi les questionnements que pose une recherche en histoire de l'art.


    Le retable dispersé ...

     Christ du Jugement

     

     

     

    RECONSTITUER LE RETABLE

    Quel sens donner à cet ensemble d’images ?

     

    Illustre-t-il les réactions de la Contre-Réforme catholique aux attaques protestantes contre le culte des images ?

    Le retable dispersé ...

     Un ange

     

    Au 17e siècle, la construction de retables constitue l’une des formes les plus significatives des réactions à l’iconoclasme protestant et correspond au goût du temps pour les belles cérémonies, les processions, les enterrements fastueux.


    Dans la configuration d’un retable, la lecture de bas en haut, en rapport avec la position du spectateur, aboutit au point culminant de la Deisis. La souffrance et le martyre dans la communion des saints sont mis en valeur : par les attitudes et les gestes de persuasion des personnages, les images provoquent des émotions, convainquent et encouragent les prières.

     

    Le retable dispersé ...

     Saint Jean

     

    Le nombre important de saints et d’anges veut-il montrer la puissance de l’intercession et de l’Église, à travers des figures qui ont leur spécificité et qui se complètent entre elles ?

     

     

    Je ne sais pas si depuis 2006 d'autres pièces ont été rachetées par le musée ! Et je voudrais m'excuser de la mauvaise qualité des images mais je suis partie de petites vignettes !!

     

     

    Le retable dispersé ...

     


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    La Véritable Histoire du 8 décembre 

    Les Lyonnais ont pris l’habitude, depuis le premier Vœu des Echevins, de demander l’intercession de la Vierge, pour une maladie, le retour d'un soldat, un enfant... Ils se rendent fréquemment au sommet de la colline de Fourvière dans une petite église qui domine la ville - celle qui encore aujourd'hui est là, blottie contre la basilique.

    Les années passent et les pèlerins sont toujours plus nombreux. La vieille église doit être restaurée. A partir de 1848 on se pose la question de refaire le vieux clocher. En 1852 la restauration du clocher est terminée et l’on va placer sur celui-ci une magnifique statue de Marie en bronze dorée. Bien entendu la date choisie est celle du 8 septembre 1852, celle de la Nativité de Marie. Malheureusement le ciel n’est pas d’accord, quelques jours avant, les nuages grondent, la ville se retrouve sous des torrents d’eau et la Saône déborde. Une nouvelle date est choisie : le 8 décembre, elle aussi fête de la Vierge, c’est la fête de Notre Dame des Advents qui deviendra deux ans plus tard, en 1854, par une Bulle Ineffabilis Deus, du pape Pie IX, la fête de l’Immaculée Conception.

    Mais ce jour là, des orages terribles éclatent et de nouveau la Saône menace. Les notables décident de repousser une seconde fois la cérémonie – mais miracle, en fin de journée les nuages poussés certainement par un doigt divin vont mouiller d’autres terres et le ciel se fait clément. Les Lyonnais, installent alors à la nuit tombée sur leur fenêtre, lumignons, bougies, bougeoirs qui vont illuminer la ville d’une douce lumière. Les bougies brûleront jusqu’au petit matin.

    "Tout à coup apparaissent à quelques fenêtres inconnues des lignes de feu... La ville s’était embrasée en un instant. Bientôt, il ne restait plus, sur la vaste étendue des quais, des rues, des passages ignorés et des cours invisibles, aucune fenêtre obscure. Les petits marchands, les clochers, illuminaient leurs baraques, leurs voitures et jusqu’aux bordures des trottoirs... Quelques feux de Bengale s’allumèrent sur les toits de la chapelle de Fourvière, la statue de la Vierge apparaît et la grosse cloche de Saint Jean, cet éloquent interprète des joies publiques, est lancée à toute volée. A huit heures, la population entière était dans la rue, circulant, paisible, joyeuse et attendrie. On se serrait la main sans se connaître, on chantait des cantiques, on applaudissait, on criait : "Vive Marie ! " Les étrangers n’en revenaient pas de leur surprise, et les Lyonnais, tout remplis qu’ils étaient de cette fête improvisée, se demandaient comment, en un instant, une population de trois cent mille âmes avait pu être saisie de la même pensée".

    Et traversant le temps, ce qui était un geste de Foi s’est dilué dans le patrimoine laïque lyonnais et le fait de mettre quelques bougies à la fenêtre le 8 décembre, se perpétuera dans toutes les familles – toutes religions confondues. Comme pour écarter un ancien malheur, comme le remerciement d’une ville d’être encore vivante, comme un geste de joie.

    Rien n’oblige les lyonnais à mettre ces petites bougies et pourtant j’en connais, qui loin de Lugdunum, à Paris, à Rome, à Hong Kong ou à New York, le 8 décembre prochain mettront dans un verre à moutarde ou un verre de cristal un morceau de bougie et le déposeront sur le rebord de leurs fenêtres, en pensant « je suis de Lyon, moi aussi » !!!

    Texte du Net

     

     

     

     

     

    Pas de diaporama cette année car étant seule je n'y suis pas allée, je me contente, comme vous, de voir les images à la télé....

     

     

     

     

     


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    Mon petit Chemin Vert .......


     

    Lorsqu'il fait trop chaud, que j'ai envie de marcher mais sans aller trop loin.... il y a un petit Chemin Vert tout près de chez moi (à 10 mn) où il fait bon marcher sous ses frondaisons ! 

     

    Mon petit Chemin Vert .......

     

    Ce chemin qui est sans cesse réaménagé, occupe l'ancien tracé de la voie de chemin de fer Saint-Just - Vaugneray. Un petit parc communique avec la voie piétonne, où il y a une petite prairie fleurie. Il a une longueur de 1 km 500, ce qui nous fait une balade de 3 kms... tout ce qu'il faut pour rester en forme.

    Rappelez-vous.....

    Ce petit chemin... qui sent la noisette
    Ce petit chemin... n'a ni queue ni tête
    On le voit
    Qui fait trois
    Petits tours dans les bois
    Puis il part
    Au hasard
    En flânant comme un lézard
    C'est le rendez-vous de tous les insectes
    Les oiseaux pour nous, y donnent leur fêtes
    Les lapins nous invitent
    Souris-moi, courons vite
    Ne crains rien,
    Prends ma main
    Dans ce petit chemin !
    (Extrait de la chanson de Mireille et Jean Nohain)

     

    Lors de mes dernières balades, j'ai pris quelques photos ;

     

     

     

    et découvert de nouveaux aménagements :

     

     

     Une petite balade que je fais assez souvent, d'autant qu'il y a des bancs pour se reposer...... j'espère qu'elle vous a plu !!!

     

    Mon petit Chemin Vert .......

     

     


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    Le Domaine de Lacroix Laval est un parc où je vais quelques fois me promener aux beaux jours, seule ou avec des amies dont Jacqueline bien sûr !

     

    Lacroix-Laval... un tour au parc !

     

    Le domaine de Lacroix-Laval est nettement ancré dans l'histoire lyonnaise.

     

    Trois époques tissent la trame historique du site ; chacune d'entre elles a marqué son paysage et y a laissé des traces dont quelques unes demeurent toujours perceptibles :

     

    • Du XIIe au XVIIIe siècle, il est fait mention d'un manoir fortifié du nom de "La Val", en référence à la vallée qu'il domine. Ses propriétaires successifs furent, pour la plupart, des bourgeois lyonnais.

    • Dès le XVIIIe siècle, le domaine devient propriété des Lacroix-Laval, et donne son nom au site en 1723. Il se transforme au cours des deux siècles suivants en "maison de plaisance" (vraisemblablement réhabilité par Soufflot en 1776) et lieu de villégiature.

    • Acquis en 1965 par l'État, le domaine devient une propriété publique. Il est alors envisagé d'y créer un vaste complexe universitaire. À la fin des années 1980, le Département du Rhône rachète le domaine de Lacroix-Laval pour y créer un parc, comblant ainsi un manque d'espaces verts dans l'Ouest lyonnais. Il sera ouvert au public en 1985.

     

    Cette hL'histoire nous indique notamment que la vocation de Lacroix-Laval a perduré au cours des siècles : servir de lieu de villégiature et d'évasions aux citadins lyonnais soucieux de se ressourcer à la campagne.

     

    Que vous dire de plus sinon de venir vous y promener avec moi ?

     

     

    Qu'en dites-vous ? En plus j'ai la chance (si je veux y aller seule) d'avoir un bus près de chez moi qui ne met que 20' pour m'y déposer. Elle est pas belle la vie ??

     

     

    Lacroix-Laval... un tour au parc !

     


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    Lorsque j'avais encore ma propre voiture et qu'il faisait beau, je décidais un jour d'aller.... jouer au casino !!!!! Non je plaisante ! Mais par contre aller m'y balader !



     


          LE REVE AUX PORTES DE LYON
              

    Héritier d'une fabuleuse histoire, le Casino Le Lyon Vert témoigne du sens esthétique incomparable des architectes de la bien-nommée Belle Epoque !

    Fleuron des deux communes : Charbonnières les Bains et la Tour de Salvagny, le Casino le Lyon Vert (groupe Partouche) offre aux visiteurs un lieu de plaisir avec ses jeux traditionnels, son parc de 400 machines à sous et un haut lieu de gastronomie avec son restaurant étoilé « la Rotonde » 

     

    Les thermes qui ont longtemps constitué une activité florissante au service des malades dans les domaines de la rhumatologie, traumatologie et neurologie. Ils fonctionnèrent une trentaine d’années avant de devoir fermer faute de rentabilité et d’aménagements nécessaires. (photo du Net) Ils sont été détruits pour laisser place à un luxueux hôtel !

     Ma balade dans le parc fut très agréable où j'eus la surprise de découvrir, entre autre, une jolie cascade...

     

    Jeux ou balade.... non balade !!!

     

    et quelques petits coins charmants...

     

    Jeux ou balade.... non balade !!!

    Jeux ou balade.... non balade !!!

     

    Avouez qu'elle était jolie ma balade..... et, promis, les machines à sous ne m'ont pas vue !!!!!!

     ,

    Jeux ou balade.... non balade !!!

     


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    On a beau habiter un quartier depuis une bonne dizaine d'années on y fait toujours des découvertes ou bien l'on regarde de plus près les choses que l'on côtoie, en tout cas c'est valable pour moi.

    Souvent quartier Saint-Just, avec le bus, je passais devant cette...

     

    Les vestiges de mon quartier !!

     sur laquelle trône des mausolées romains :

      5 mausolées datant du Ier siècle de notre ère ont été découverts près du carrefour du Trion au cours de travaux d’aménagement. Ils ont alors été déplacés place Eugène-Wernert. A l’époque romaine, ce type de tombeaux était réservé aux personnes de haut rang. On a pu les attribuer : le triple mausolée rassemble celui de Julius Severianus, Quintus Valerius et Julia. Les deux autres sont distincts et appartiennent à Satrius et Turpio. Le dernier, Turpio, est le mieux conservé et porte une dédicace.

     

    Les vestiges de mon quartier !!

     Vue d'ensemble

     

    Le mausolée de Turpio

    Les vestiges de mon quartier !!

     Frise du mausolée de Turpio

     

    Les restes actuels du tombeau de Turpio forment un bloc carré en grand appareil, posé sur un podium en débordement et dont chaque angle est sculpté en pilastre. Une frise et une corniche sont conservées sur une des faces.

     

    Les vestiges de mon quartier !!

     Tombeau du Sévir Turpio

     

     

    Les vestiges de mon quartier !!

     Mausolée attribué à Satrius

     

    Les vestiges de mon quartier !!

     Trois mausolées juxtaposés. De gauche à droite tombeau de Julius Severianus,
    tombeau de Quintus Valerius, tombeau attribué à Julia.

     

    Ma ville est pleine de jolies choses alors à une autre fois.....

     

     

    Les vestiges de mon quartier !!

     

     


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    Sous un grand ciel bleu mais un petit vent très frais à qui on pardonne car il a chassé la pollution, je pars faire une balade en solitaire au Jardin des Hauteurs, cinq minutes de bus, APN en mains me voilà prête à chercher le Printemps....

     

    A la recherche du printemps !!

     que j'ai trouvé avec ces quelques fleurs, ou encore ces forsythias que domine la Basilique de Fourvière (qui se refait une beauté) alors que Mr le Pigeon me tournes le dos.... quel malpoli !!!

    A la recherche du printemps !!

     Du haut de la colline je vois la ville enfin débarrassée de son nuage de particules...

     

    A la recherche du printemps !!

     Sur le chemin du retour, je plonge le regard vers un escalier qui descend dans les profondeurs du bois de la Sarra, paradis des enfants jouant l'été avec les accrobranches...

     

    A la recherche du printemps !!

     Soudain je vois une forme étrange … vite un clic avant de découvrir un personnage à ses pieds !!

     

    A la recherche du printemps !!

     Un dernier regard sur le jardinet où l'on peut se reposer sur quelques bancs et admirer les Monts du Lyonnais !!

     

    A la recherche du printemps !!

     

    Voilà, ma petite balade est finie, je l'ai pourtant déjà faite très souvent mais je trouve toujours quelque chose de nouveau et j'ai pris un bon bol d'air... vous aussi, j'espère !!!

     

    A la recherche du printemps !!

     


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    Balade dominicale !!!

     

    Balade dominicale !!!

     

     

    A la mi-octobre, Jacqueline voulait voir le Parc de Beauregard que j’avais découvert quelques jours avant. Nous y avons fait une belle promenade en prenant cette fois la visite par le haut ce qui m’a permis de faire de nouvelles photos, notamment celle des poissons rouges qui ont remplacé les canards ……

     

     

     

    Après notre promenade dans le parc, la petite Balade dominicale !!!   nous a conduites vers un bâtiment que Jacqueline tenait à me faire découvrir après m’en avoir souvent parlé. Il s’agit du…

     

    Grand Séminaire de Francheville

     

    Balade dominicale !!!

     

     Je n’ai pas trouvé beaucoup de renseignements sur ce magnifique édifice.

    En 1902-1903, sur un terrain acheté dès 1860 et situé à la limite des communes de Francheville et de Sainte Foy-lès-Lyon, on construisit, sur fonds privés, l’actuel Séminaire pour remplacer le Séminaire de philosophie fondé en 1807 à Alix, dans la vallée de l’Azergues.

    L’entretien de l’édifice étant devenu très compliqué, il a été transformé en logements. Nous avons pu entrer et parcourir le parc mais sans entrer à l’intérieur, voici quelques photos……

     

     

     


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