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    Ne me demandez pas comment, je me suis retrouvée devant la couverture de ce livre, mes balades sur le Web, un ami blogueur Le fait est qu'elle m'a interpellée et que j'ai voulu en savoir plus et ne me dites pas que la curiosité est un vilain défaut !!!!!

     

     

     Ce livre, que je n'ai pas encore lu mais je vais le chercher, décrit, une cinquantaine de femmes écrivains (ou écrivaines ?) depuis le Moyen âge à nos jours, j'ai pu relever quelques noms :

     

    • Christine de Pisan

    • Jane Austen

    • George Sand,

    • Colette

    • Isabel Allende

     

     et bien d'autres...........

    Voilà ce que dit un article paru dans l'Express :

     

    Sous ses apparences de beau livre, Les femmes qui lisent sont dangereuses n'a rien du catalogue bien emballé, du pavé jamais ouvert qui orne les tables basses. Il agit comme une affirmation, comme une preuve, et comme une restauration. Il suffit de le feuilleter pour entrer dans son propos: depuis que la peinture existe en Occident (et que la photographie la complète), les femmes sont représentées un livre à la main, de Marie (la Vierge) à Marilyn (l'Etoile). Les femmes lisent, les femmes ont toujours lu: voilà une vérité qui ne souffre pas d'interprétation. C'est vrai, parce que c'est représenté, et par des hommes, dans l'immense majorité.

     

     

    Le plus étonnant, dans tout cela, c'est peut-être notre étonnement. Toutes ces femmes peintes et photographiées un livre (ou un journal) à la main, ça ne s'était jamais vu. Les femmes, nous avions plutôt le souvenir de les avoir vues en pâmoison, en maternité, en prière, en deuil, au bal, à la toilette, à l'église, au bordel, à l'atelier, et même au travail… Mais à la lecture, non. Ou alors on ne se souvenait pas qu'elles étaient si nombreuses. Si constantes aussi, au travers des siècles.

     

                                (Monelle 1999)

     

    Mais oui, Messieurs, vous lisez aussi !!!

     

    Ma curiosité m'a incitée à rechercher des tableaux, célèbres ou non, représentant la femme et son livre ! Voilà le résultat : 

     

     

    Alors bonne lecture à tous et.....

     


    18 commentaires
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    En février 2012 j'avais adressé cette lettre qui n'a jamais reçu de réponse de son destinataire alors qu'en la postant à nouveau aujourd'hui j'aurais, peut- être, plus de chance ????

     

    Lettre à Monsieur Alexandre POUCHKINE

     

    Lettre à Monsieur Alexandre POUCHKINE

     

    Monsieur,

    Vous, Prince des poètes russes que l’on surnommait « Le Français », je viens de vous découvrir au cours d’une lecture. Oh ! bien sûr, je connaissais votre nom mais n’avais jamais poussé ma curiosité plus avant, ce que je vais faire, soyez-en sûr !

    J’ai aimé découvrir votre amour des femmes… Non ! Plus exactement de  « LA »  femme pour qui vous aviez une véritable adoration ; une image de perfection vous poursuivait, celle du « petit pied » ; souvent dans votre vie votre regard fut capturé par le pied cambré d’une danseuse ou les pieds nus d’une jeune paysanne et vos poèmes en reste la preuve.

    J’ai aimé aussi le décor qui abrita le temps de vos études mais aussi celui de vos premières amours dans ce lycée et le parc qui l’entourait : TSARKOÏ SELO où, le soir après des soirées raffinées faites de conversations et de musique qui ne se terminaient jamais sans une promenade au clair de lune, près des lacs, sous la seule garde des cygnes blancs et noirs.

    Tout ceci, Monsieur, n’est que très peu de choses que je connais de vous, mais suis désireuse d’en connaître davantage, vous l’Européen de Saint-Pétersbourg dont on disait !

     

    Lettre à Monsieur Alexandre POUCHKINE

     

    « Déjà la nuit tombe. Il prend place
    Dans un traineau ‘’Gare
     ! ’’ Bien fort
    Le cri sonne… Un duvet de glace
    Argente son col de castor
     »

     

     

    Salutations, Monsieur !

    Monelle, ce dimanche de février 2012

     

     

    Merci à Vladimir FEDOROWSKI pour son livre

    « Le roman de Saint Pétersbourg – Les amours au bord de la Néva »

    Dont la lecture m’avait inspiré ce billet !!

     


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    La légende  de « La Sybille de Cumes » 

      

     Au hasard de mes lectures, après le « Château des Carpathes » de Jules Verne, ma curiosité bien connue maintenant, m'a incité à m'intéresser à la légende de la Sybille de Cumes, en lisant :  

     

    Légende  de « La Sybille de Cumes »     Légende  de « La Sybille de Cumes »

      

     Dans ce livre, l’auteur parle de la Sybille de Cumes, l'une des douze sybylles du monde grec et l'une des plus importantes. 

    Légende  de « La Sybille de Cumes »

      Tableau représentant La Sybille
     
     

    Le livre débute par la redécouverte de l'antre de Sybille de Cumes qui est     l'une des douze sybilles du monde grec et l'une des plus importantes. (Une sybille est une prophétesse, une femme qui fait des prédictions)

    Légende  de « La Sybille de Cumes »    Légende  de « La Sybille de Cumes »

              La grotte où se trouve l'antre                          L'entrée de l'antre (aménagement actuel)    

    Cumes est une ancienne cité de la Grande Grèce, située au bord du golfe de Gaète (Mer Tyrrhénienne, près de Naples. C'est aujourd'hui une zone archéologique de première importance, qui présente des vestiges nombreux et variés, dont le plus illustre est l'antre de la Sybille. 

     

      Légende  de « La Sybille de Cumes »

      Début de la Voie Sacrée

    La zone archéologique de Cumes comprend l'acropole avec les temples de Zeus et d'Apollon.

           Légende  de « La Sybille de Cumes »     Légende  de « La Sybille de Cumes »
                  
    Le baptistère du Temple de Jupiter                              Ruines du Temple d'Apollon

     

    Quelles différences entre sibylle et pythie ?
    1 - la Pythie a un statut institutionnel, elle est associée au sanctuaire de Delphes, alors que la Sibylle donne une divination occasionnelle, indépendante, nomade. 

    2 - la Pythie n'est que le porte-parole du dieu, elle répond aux questions qui lui sont adressées, alors que la Sibylle parle à la première personne, revendique l'originalité de sa prophétie et le caractère indépendant de ses réponses.

     

    Légende  de « La Sybille de Cumes »

                                                                               Ruine du Temple de Jupiter
     
     
     
    3 - on imagine la Pythie jeune (c'est, à l'origine, une jeune fille vierge), mais la Sibylle vieille. 

    4 - la Pythie apparaît en Grèce après la première Sibylle (Hérophile), les Sibylles sont venues d'Asie Mineure au VIIIe siècle av. J.-C. 

    5 - malgré certaines images poétiques (Lucain, Virgile), la Pythie est plutôt posée, même si elle est en transe, alors que la Sibylle "dit l'avenir d'une bouche délirante". 

     

    Ce qui précède vous donnera peut-être envie de lire ce livre ???

    Si oui… bonne lecture !!!

     

     Légende  de « La Sybille de Cumes »

     

     


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    " Les demoiselles de Provence "

     

    L'été tend son voile bleu sur le pays de Forcalquier. Planté sur sa haute colline, le château comtal dresse avec arrogance son donjon, ses quatre tours d'angle et sa couronne de murailles grises comme un défi aux téméraires qui oseraient s'y attaquer........ 

    Ainsi commence le roman. Seulement voilà du donjon il ne reste que des ruines, encore imposantes, malgré tout. 

     " Les demoiselles de Provence "
     

    La légende des Quatre Reines
     

     
     

    Notre cité fut, aux XIIème et Xlllème siècle, la capitale d'un comté puissant. L'un de nos comtes,

    Raymond Bérenger V, eut quatre filles qu'il maria toutes quatre à des rois :

    . l'aînée, Marguerite, épousa le roi de France Louis IX (Saint-Louis) ;

    . la seconde, Eléonore, épousa le roi d'Angleterre Henri III ;

     la troisième, Sancie, devint l'épouse du frère d'Henri III, Richard de Cornouailles, qui porta

    (bien que peu de temps) le titre de roi des Romains ;

    . quant à la benjamine, Béatrice, c'est son mariage avec le frère de Louis IX, Charles d'Anjou, roi de Naples

    et de Sicile, qui lui valut le titre de reine. 

    Rétablissons toutefois les faits dans leur vérité historique : filles d'un Comte de Forcalquier aux possessions très étendues, nos quatre reines ne sont probablement jamais venues dans notre ville. 

     
      
      
      
     " Les demoiselles de Provence "
      
     

    Sur l'une des collines domine la chapelle Notre-Dame-de-Provence, et situé à l´emplacement de l´ancienne citadelle, Forcalquier surveille son pays de la montagne de Lure au Luberon. Elle fût construite en 1875 sur un rocher, la source naturelle qui en jaillissait Font Calquier, fontaine du rocher inspira le nom actuel de la commune " Forcalquier ".
     
     
     

    " Les demoiselles de Provence "

     


     " Les demoiselles de Provence "         " Les demoiselles de Provence "
     Détail du fronton de la porte d'entrée Le carillon
     
     
    " Les demoiselles de Provence "
      
    Chaque cloche du carillon a une marraine, elles sont dix huit en tout .


    Lors d’une visite de Forcalquier j'ai grimpé la colline pour aller voir la chapelle, ce fut une belle balade !
     
     
     
    " Les demoiselles de Provence "


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