-
Petite poésie : "Froidure"
Avant que l'hiver ne reprenne ses droits et pour vous souhaiter une bonne semaine je vous offre ce petit poème....
A bientôt
-
Commentaires
Bonjour ma belle Monelle,,
Tu as mis des lumignons à tes fenêtres toi aussi, selon la tradition lyonnaise ?
C'est pas grand'chose, mais si cela pouvait éclairer les gens qui nous gouvernent....
Bonne journée, Bisous et amitiés de la Dame de Hte Savoie.
bah moi l'amitié j'y crois plus vraiment ....quand on est dans la peine tout le monde se debine !!! je parle de l'amitié reelle, la virtuelle est là car elle n'engage pas comme la relle le fait ....
un clic et hop !!! mais quand on est dans la peine personne ne vous propose de vous voir, de parler de ce qui vous éprouve .....
drole de monde dans lequel on vit et ou il est bien plus facile d'etre present quand tout va bien ..............
C'est très beau Monelle, l'inspiration revient ! Bises ventées de mon île. De bonnes rafales, nous attendons la pluie pour cette nuit.
Ah un petit poème, ça fait plaisir.
Celui-ci est très joli.
Gros bisous ma belle Monelle et bonne soirée à toi.
Yoyotte et Fanfan
Les petits poèmes refont leur apparition : super ma belle !
Point de brouillard chez moi, mais du beau soleil que je partage volontiers avec toi.
Bonne fin de journée, bisous et amitiés de Dame Cordée, et Mr Jack par procuration.
5EglantineLundi 7 Décembre 2015 à 10:563MylèneLundi 7 Décembre 2015 à 09:17Merci pour ce beau poème, l'amitié n'a pas de saison, mais pensons à tous ceux qui ont froid dans le cœur et aussi dans le corps par ces moments difficiles!
Coucou chère Monelle !
Quel plaisir de te retrouver sur ton blog !
Oui, donnons de la chaleur à nos amis, même par mails ou sur leurs blogs ! Une pensée amicale fait tellement de bien !
Gros gros bisous chère Monelle et bonne semaine !
Florence et Paul
Bonjour Monelle... qu'importe les saisons après tout, aimer tient chaud au coeur, amitié, amour, donnons sans compter... bonne semaine à toi, pensées amicales, jill, bises
Ajouter un commentaire
là nous n'avons pas encore trop à nous plaindre