-
Nouvelle : Quand le destin s'en mèle !!! (Fin)
Dirigée vers le service d’urgence, Audrey n’a toujours pas repris conscience, une nouvelle piqûre pour soutenir le cœur est faite. Pascal, qui n’est pas son médecin traitant actuel, malgré le dossier qu’il présente (sa secrétaire le lui ayant apporté) n’est pas admis à entrer et tourne comme un ours en cage, interpellant chaque personne sortant de la salle.
Soudain le chef de service s’approche de lui, avec une mine sombre et lui annonce que l’état d’Audrey donne de grandes inquiétudes, tous ses organes vitaux semblent s’affaiblir puis reprennent sans que l’on comprenne pourquoi, et impossible d’interroger son médecin actuel, s’il y en a un et le dossier de Pascal, même s’il est très complet, date de trois ans.
Les minutes passent quand un interne sort de la pièce en courant et informe les deux hommes qu’Audrey a repris connaissance et que tout a l’air d’être revenu normal. Soulagement bien sûr mais le mystère reste entier !
Pascal est autorisé à la voir. Lorsqu’elle l’aperçoit, malgré sa faiblesse, un air surpris surgit :
- Vous êtes toujours là ?
- Bien sûr, je ne vous ai pas quitté un instant et vous pouvez vous vanter de m’avoir fait une belle frayeur, mais ne parlez pas, vous êtes encore très faible.
- Que s’est-il passé ?
A la question d’Audrey, d’une voix douce, il lui raconta tout depuis la remise en marche du train. D’une manière inconsciente il lui avait pris la main qu’elle ne lui avait pas retirée, son regard ne lui était plus hostile, comme si une partie de sa vie s’était effacée. Inquiet il lui demanda s’il elle pouvait indiquer le nom de son généraliste actuel afin que l’hôpital puisse prendre contact avec lui.
- C’est le docteur X, mais je ne l’ai pas vu depuis deux ans.
Rassuré, il lui dit qu’il fallait qu’elle se repose et qu’il reviendrait plus tard. Elle le regarda de ses beaux yeux et lui dit :
- Pardon, je vous ai mal jugé il y a trois ans mais je comprends maintenant que vos sentiments étaient sincères !
- Et ils n’ont pas changés, lui répondit-il.
Les semaines ont passé sans qu’on découvre ce qui s’était passé pour Audrey. Elle reprit des forces et peu à peu son activité. Ses relations avec Pascal d’haineuses sont devenues de l’amitié et au fil du temps de la tendresse… un nouvel avenir s’ouvrait devant eux !!!!
Monelle - oct. 2011
-
Commentaires
une histoire qui finit bien ;)
tant mieux !!
**
j'aime aussi beaucoup ton poème dédié à la balade nocturne
en hommage à dame lune
bisous
christelle
Je n'arrive pas à mettre un commentaire sur ton dernier article; joli poème ;la lune brille bien en ce moment! Bisous
28musica18Vendredi 29 Mars 2013 à 08:00coucou impossible de t'envoyer un com sur ton article actuel, jespère que là, ça va marcher!
c'est toujours très beau chez toi!
bisous et passe un très beau week-end de Pâques!
je n'arrive pas à te laisser un commentaire sur ta ballade nocturne moi la lune je la contemple de ma fenêtre ou si je sors c'est accompangée je ne suis guère rassurée de sortir la nuit
Kikou Monelle,
Une bien belle fin,sur cette histoire.
Je te souhaite une agréable soirée,
Bisous
Bonsoir amie Monelle,
et...ils se marièrent ? ils eurent beaucoup d'enfants ????
Bonne soirée, bisous et amitiés pleines de soleil aujourd'hui !!!
coucou ma belle je passe te souhaiter une belle journée la mienne voit enfin du soleil
j'espère qu'il va rester toute la journée car j'en ai marre de peindre à la lumière de la lampe
bisous
20Michel AMercredi 27 Mars 2013 à 09:16On rest un peu sur notre faim sur la fin (rire), chère Monelle
Mais c'est une belle histoire bien narrée
Bisous et douce soirée
Le Noctamplume
Une histoire très touchante.
Bonne semaine, Monelle.
Ici, l'hiver est revenu ei il gèle.
Bisous.
Yvon.
16Mimi de BrugesMardi 26 Mars 2013 à 16:21Ah bon ! le mystère reste entier. Enfin ça fini bien c'est l'essentiel.
Bonne semaine Monelle. Gros bisous
c'est une histoire d'amour, quelquefois on rejette une personne que l'on aime un peu plus tard. je sais, je l'ai vécu.
bisous à toi ma chère Monelle et merci pour ta présence à mes cotés.
Moune
Pendant que le conscient se mettait en veille le subscontient faisait avancer les choses.
Qu'en aurait dut Freud !!!
Tout est bien qui finit bien.
Bisous et bonne journée
5Michel AMardi 26 Mars 2013 à 08:51Coucou Monelle par une matinée grise et froide !
Voilà l'histoire qui s'achève et on reste sur notre faim car le mot fin ne nous a pas apporté d'éclaircissements ! La fumée de la micheline sans doute en est la cause !!!
Bonne journée Monelle et mes meilleurs bisous !
Florence
Un fin heureuse côté santé et sentiments.... les cloches sonneront sans doute pour eux un beau matin... Merco Monelle, bises de jill
Ils se marièrent et eurent bcp d'enfants
Ainsi se termine ce conte qu'on aurait pu soutitré "Le train de l'Enfer"
Gros bisous Monelle et tout belle journée
Ajouter un commentaire
Je viens de lire la nouvelle, en une fois, j'ai de la chance moi ! Hihihi Je t'encourage à en écrire d'autres, tu as du talent et c'est toujours sympa de te lire.
Je t'envoie à nouveau de gros bisous ! A bientôt