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Comme tous les jeudis, chez les Croqueurs de mots on publie nos poèmes, ou nos poètes préférés texte libre, forme libre, faire découvrir nos coups de cœur.
Thème proposé par Lénaïg : " Tout ce qui est petit est inouï"
Un petit écureuil...
Petit écureuil réfugié sur ta branche,
Queue touffue, derrière laquelle tu te caches,
Mais un bruit, vite sur une autre branche, tu voltiges,
Tu te caches, petit trésor des bois,
Mais moi je te vois et t'admire.
Je voudrais pouvoir, comme toi,
Bondir de branche en branche,
Courir ce monde immense,
Et leur dire ce que je vois !
Monelle - 07-2010
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PRENOMS du MERCREDI
Calypso
Étymologie : Le prénom Calypso a pour origine le prénom grec Kalupsô. Le prénom ancien Kalupsô fut inspiré du terme grec kaluptein qui signifie "couvrir".
De nature agréable et optimiste, discrètes, elles sont toujours coquettes, pas toujours courageuses. Néanmoins, quand elles se sont fixé un but, plus rien ne les arrête.
La nymphe Calypso qui recueillit Ulysse, poussé par une tempête, sur son île d'Ogypie, était une fille du dieu Océan et de son épouse Thetys. L'Odyssée d'Homère raconte longuement la séduction qu'elle exerça sur Ulysse et sa tentative de le garder à jamais auprès d'elle en lui offrant l'immortalité. Mais au bout de dix ans, son divin père se fâcha et elle dut laisser partir Ulysse retrouver sa Pénélope. L'importance de l'œuvre d'Homère dans la culture occidentale explique que ce prénom, comme beaucoup d’autres figurant dans L'Iliade ou L'Odyssée, n'ait pas disparu de l'usage. Certes, Calypso reste rare mais on en a encore compté une vingtaine dans le courant de l'an dernier. Toutes les nymphes se célèbrent le même jour en mémoire d'une sainte Nymphe, chrétienne des premiers siècles.
La Calypso et son célèbre navigateur,
le Cdt Cousteau… en ont-ils sillonnées des mers !!!Le rêve de Calypso : être mannequin !
Calypso était une jeune fille charmante et pourtant elle se trouvait « moche » allez savoir pourquoi !!
Elle avait un grand rêve, devenir mannequin mais elle n’osait pas aller se présenter dans les castings sûre qu’elle était d’en être rejeté. Un jour où son moral était au plus bas et qu’elle parcourrait une revue elle tomba sur la page horoscope et décida de lire ce qu’on disait sur son signe « capricorne » bien qu’elle n’y ait jamais cru …
… cette journée sera très bénéfique pour les jeunes natives du premier décan et la décision que vous prendrez vous permettra de réaliser une grande carrière........
Calypso, continua de feuilleter les pages du magazine quand soudain une annonce attira son attention :
Recherche de jeunes mannequins : le 10 janvier à partir de 14 h. aura lieu
un casting au Grand Hôtel, se présenter avec un book et une pièce d’identité.Mais c’est aujourd’hui s’écria Calypso et, malgré elle, décida de s’y présenter, elle saurait au moins si sa peur d’être rejetée était fondée et puis cela lui permettrait de mettre fin à son obsession.
Elle choisit une tenue à la fois sobre et élégante que lui avaient offerte ses parents pour son anniversaire, se maquilla légèrement et se rendit au rendez-vous. Arrivée à destination, une boule dans l’estomac, elle s’aperçut qu’elle n’était pas la seule à avoir répondu à l’annonce. Qu’importe elle était là et ne renoncerait pas !
Deux ou trois heures passèrent (elle ne sait plus) quand elle entendit son nom et la voix disant :
- Mesdemoiselles, c’est fini pour aujourd’hui, nous vous remercions d’être venues !
Interloquée Calypso réalisa qu’elle était la dernière à avoir été appelée et se dirigea vers la personne qui avait prononcé son nom et qui l’accueillit avec un sourire !
Une heure plus tard les passants virent sortir une jeune fille radieuse qui avait en poche un nouveau rendez-vous pour des essais de photos…
Elle n’était donc pas ‘’moche’’ et l’horoscope disait vrai ???
Monelle – janv. 2013
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Alphonse de LAMARTINE à Mâcon et Milly
Lors d’une mini-croisière sur la Saône, nous avons fait un arrêt à Macon pour nous promener sur la belle esplanade et son allée fleurie consacrée à Lamartine.
Dans l’histoire de la littérature française, Lamartine a la lourde responsabilité d’avoir ouvert la voie au romantisme, avec ses Méditations poétiques de 1820 (dix ans avant la "bataille d’Hernani"), inspirées par un grand chagrin survenu plusieurs mois auparavant : celui de n’avoir pas revu Elvire, empêchée par la maladie de retrouver son amant au bord du lac…
Les environs de Mâcon sont les terres de ce poète qui préférait ne pas relire ses vers pour mieux laisser parler ses sentiments.
Lamartine naît à Mâcon en 1790 18 rue des Ursulines (dans une maison qui lui appartiendra ensuite et qu’il vendra en 1828). Il passe à Mâcon ses années d’enfance. A partir de 1805, les Lamartine habitent l’hôtel d’Ozenay, 15 rue Lamartine (baptisée ainsi en 1842, de son vivant !). Le poète vit là jusqu’à 1820. Plus tard, il sera conseiller municipal, général et député de Mâcon.
«O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices,
Suspendez votre cours !
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
« Assez de malheureux ici-bas vous implorent;
Coulez, coulez pour eux;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent;
Oubliez les heureux…..
" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! ".........
Jean GUILLEMIN dit dans un article :
Qui c'était Lamartine ?
Un languide n'est-ce pas ? Un mandoliniste assommant. Le pleurard à nacelle dont parlait Musset. Le responsable, comme disait Flaubert, de tous les embêtements bleuâtres du lyrisme poitrinaire.
Je sais bien que c'est là l'image usuelle que l'on se fait de Lamartine. Il n'y en a pas de plus inexacte.
Eh bé ! ils n'étaient pas tendres entre eux en ce temps-là non plus, mais c'était dit avec des mots plutôt poétiques.......
La maison de Milly.
"Je persiste à croire, contre tout le monde, que j’étais né pour un autre rôle que celui de poète fugitif, et qu’il y avait dans ma nature plus de l’homme d’Etat et de l’orateur politique que du chantre contemplatif de mes impressions de vingt ans."
Lamartine à 73 ans.
La maison de Milly est à quatorze kilomètres de Mâcon. Elle a été construite au début du 18ème siècle par un ancêtre de la famille. Il y réside, en alternance avec Mâcon, jusqu’à son mariage (surtout entre 4 et 15 ans) et y compose certaines Méditations poétiques. Il en est propriétaire de 1830 à 1860. Sa mère plantera du lierre au pied du mur nord pour que la maison ressemble à la description qu’il en donne dans La vigne et la maison
La "maison de Jocelyn" est le presbytère de Bussières, près de Milly. Là, l’abbé Dumont, premier précepteur de Lamartine, aurait inspiré l’histoire de Jocelyn. Le texte gravé sur sa dalle funéraire, sur le côté de l’église de Bussières, montre l’amitié que le poète lui portait. Au-dessus de Milly se trouve la "grotte des aigles" du récit.
Il existe également un musée privé dans le Chateau familial de Saint-Point
Peut-être peut-on y admirer cette magnifique pendule à l’effigie de Lamartine ?
Deux endroits que j'irai bien visiter, pas Vous ? Si ? alors pour le château c’est par ICI !!!
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Un peintre amoureux de sa Provence, c’est au soleil éclatant de son midi qu‘il puise son inspiration et sa force !!
Vincent Rallo
Vincent RALLO, peintre français né en 1954.
Il réalise son premier dessin à l'âge de 7 ans. Il vend ses premiers tableaux à l’huile à ses professeurs du collège ; sa passion de la peinture ne va plus le quitter. Diplômé en dessin et perspective. Il se perfectionne à l‘École des beaux Art de la Seyne sur mer.
École des beaux Art de Toulon. Diplômé en aérographie et de trompe l’œil à Paris.
Son parcours est dès les début couronné de succès par de nombreux premiers prix de peinture dans des villes comme La Garde, la Seyne sur Mer, Toulon, Brignoles, Ollioules et Bandol. Et n’est allé quand s’amplifiant au fil des ans.
Personnage sympathique , direct, il aime la tranquillité, et la liberté ,pour lui c’est impératif pour pouvoir s'exprimer. Son œuvre et très diversifiée. Installé depuis toujours dans le midi de la France et malgré ses nombreux voyages, c’est au soleil éclatant de son midi qu‘il puise son inspiration et sa force.
Vincent RALLO peint au couteau et au pinceau, ce qui donne l’impression qu‘il sculpte ses toiles. La matière est généreuse et colorée. Il a le souci du détail, et restitue l’émotion à la perfection. Toutes ses oeuvres sont autant de sentiments ressenties par cet artiste provençal. La joie de peindre ne le quitte pas, son œuvre est une fête, ou s‘enchaînent marines, paysages, marchés, natures mortes et nus.
Ses oeuvres sont exposées dans de nombreuses galeries à travers la France. Et dans des collections particulières en Europe, aux USA et Japon.Cette semaine je vais vous présenter une sélection de ses tableaux sur le diaporama ci-dessous :
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Comme tous les jeudis, chez les Croqueurs de mots on publie nos poèmes, ou nos poètes préférés texte libre, forme libre, faire découvrir nos coups de cœur.
Thème proposé par Hauteclaire : " Le héros "
Je laisse le soin à Victor Hugo d’en parler…
Mon père, ce héros au sourire si doux...
Mon père, ce héros au sourire si doux,
Suivi d'un seul thésard qu'il aimait entre tous
Pour sa grande rigueur et sa trogne vermeille,
Parcourait les couloirs d'un labo de Marseille
Que des chercheurs déçus désertaient tristement.
Il lui sembla dans l'ombre entendre un geignement.
C'était un logicien rompu par les épreuves
Qui se traînait, sanglant, sur un réseau de preuves,
Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié,
Criant : «Un modèle ! un modèle, par pitié !»
Mon père, ému, tendit à son thésard fidèle
Une machine de Turing universelle,
Et dit : «Donne un modèle au collègue coincé.»
Tout à coup, au moment où le thésard blessé
Se penchait vers lui, l'homme, un suppôt de Girard,
Saisit un connecteur d'une espèce bizarre
Et vise au front mon père en criant : «Contraction !»
Le coup passa si près de l'élimination
Que le doctorant fit un écart en arrière.
«Donne-lui quand même un modèle», dit mon père.
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PRENOMS du MERCREDI
Cébus
Étymologie : ?????????
Ayant le rire facile et la faculté de voir le côté drôle de la vie, Cébus a l'habitude de ne rien dramatiser. C'est un état de grâce qui le préserve de la morosité, de la tristesse, du découragement et des dépressions nerveuses.J’avoue ne pas être très convaincue par ce qui précède.
Lao-Tseu disait : "Ceux qui savent ne parlent pas ; ceux qui parlent ne savent pas." Cette pensée pleine de sagesse devrait donner à Cébus matière à réflexion.
Oh là là Jill, si tu savais où m’ont embarquée mes recherches sur ce prénom… je suis passée par la génétique et la composition du cerveau, le zébu, les fossiles, la préhistoire des Icas …… Où as-tu déniché ce prénom car aucun humain ne m’a été présenté ???
Il ne me reste plus qu’à trouver le mien !!!
Je m’appelle Cébus
Bonjour, vous allez bien ? Moi ça va, j’arrive de Madagascar et je suis un peu fatigué.
Figurez-vous que dans le hall de l’aéroport il y avait un grand truc où je voyais certains de mes congénères, les zébus. Mais je n’y comprenais rien, ils n’avaient pas la même couleur que moi.
Y’en a un qu’était tout blanc, un autre tout noir, et vous savez quoi ? J’en ai vu deux qui tiraient un charriot et dans l’eau en plus.
Oh et celui-là il a une bosse sur le dos bien plus grosse que la mienne… celui qui lui a tapé dessus n’y a pas été de main morte ! Pourtant il aurait dû plutôt le protéger car il paraît que c’est un nain !
Bon, c’est pas tout ça mais j’ai faim, moi ! Le voyage m’a creusé… Pardon Madame vous pouvez me dire où se trouve la cafétéria ??
Pourquoi elle m’a regardé d’un drôle d’air en se sauvant ???? C’est bizarre ici ! Je crois que je vais retourner dans mon pays……
Monelle arrête de délirer et file dans ta chambre…
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Silence… on tourne !!!
Voilà le sujet proposé par Hauteclaire pour les Croqueurs de mots !
Seulement je ne suis pas une grande cinéphile n’allant qu’assez rarement au cinéma, alors construire un script pour faire une suite à un film qui m’a marqué n’est pas évident pour moi ???
L’un des films qui m’a marqué le plus est sans aucun doute « Des hommes et des dieux » mais pour moi il ne peut y avoir une suite !
Aussi l’idée m’est venue d’écrire quelques mots sur des titres de films que j’ai vu ……
Dans un coin de France, une jeune fille Danse avec les loups, alors que près de là il y a son père… L’homme qui parlait à l’oreille des chevaux. Tous deux pareillement amoureux des animaux !
Plus haut, dans la montagne un petit garçon, en vacances chez son grand-père, était certain que l’avion Malabar-Princesse qu’avait pris sa Maman était caché, là-haut dans la montagne, et qu’un jour il le retrouverait et il avait raison.
Pendant ce temps certains jouaient à la Guerre des Boutons tandis que d’autres s’essayaient à devenir Les Choristes ! Et savez-vous que j’ai de la peine à reconnaître le petit Jean-Baptiste à la voix d’or dans ce grand jeune homme de J.B. Monnier qu’il est devenu mais dont la voix reste belle malgré sa mue !
Un jour de fin de printemps, Thierry est allé voir Le grand bleu… fasciné, il n’est pas ressorti de la salle pour le voir une seconde fois, « Je serai en retard, Maman » a-t’il laissé comme message … tellement fasciné qu’il a plongé dans l’océan pour toujours (une tendre pensée pour toi) !
Et moi dans tout ça ? Eh bien moi, je ne suis même pas fichue d’écrire un script de scénario !!!
Monelle – janvier 2012
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Cette semaine, grâce à Clio et son article ’’Jardin des personnalités’’, nous partons à la découverte de…
Johan Barthold Jongkind
Johan Barthold JONGKIND, peintre paysagiste hollandais vécut principalement en France où il fut très estimé de ses pairs et du public.
Connu comme "le peintre de Honfleur et des rues de Paris", Manet l'appelait "le père du paysage moderne", et les jeunes peintres, au premier rang desquels Monet, un temps son élève, furent séduits par son audace et ses natures qui annonçaient dès 1860 l'impressionnisme.
C'est dire toute l'importance au regard de l'histoire de l'Impressionnisme de Jongkind, et l'étonnant itinéraire de ce peintre arrivé en France en 1846, à la demande d'Eugène Isabey, après avoir reçu dans son pays natal une solide et traditionnelle formation de paysagiste hollandais.
Indépendamment de son caractère propre, l'oeuvre de Jongkind se situe, comme un trait d'union entre les oeuvres de Corot et de Monet, annonciatrice de la vague impressionniste de la fin du XIXème siècle.
Pour connaitre sa biographie complète c’est ICI !!!
Et l’ensemble de ses œuvres, très nombreuses, c’est ICI !!!
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Une nouvelle année commence et comme tous les jeudis, chez les Croqueurs de mots on publie nos poèmes, ou nos poètes préférés texte libre, forme libre, faire découvrir nos coups de coeur.
Thème proposé par Hauteclaire : " Femme fatale "
Femme fatale
Moi la femme fatale
Aimant faire couler les larmes
Flèches de Cupidon je décoche
Et prend vos cœurs Messieurs
Par un pacte scellé d’un baiser
Je vous enchaîne à mes pieds
Pour un jour ou quelques heures
Vous serez à moi car…
Je suis… La Femme Fatale !!!
Monelle – janv. 2012
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PRENOMS du MERCREDI
Radegonde
Étymologie : Vient du germain "rad et gund" Signifie: "conseil et guerre" Sainte patronne de la ville de Poitiers.
D'une franchise absolue allant jusqu'à l'indélicatesse, elles sont généralement têtues, obstinées et courageuses. Elles travaillent plus par raison que par enthousiasme, mais sont très perspicaces. Elles ont parfois tendance à négliger leur entourage pour ne s'intéresser qu'à leurs affaires. D'une morale scrupuleuse, elles sont tolérantes. Bonnes vivantes, bavardes, elles ont le sens de la fidélité
Radegonde de Poitiers (Radegundis en latin), née vers 519 à Erfurt en Thuringe, morte le 13 août 587 à Poitiers, est une princesse thuringienne, devenue reine des Francs en épousant Clotaire Ier, fils de Clovis.
Fondatrice de l'abbaye Sainte-Croix de Poitiers, elle a été canonisée. Elle est patronne de Poitiers et patronne secondaire de France.
Mon nom est Radegonde
Dans le hall d’une gare près de moi assise, une jeune femme gracile, divine aux grands yeux, naturellement souriante. Long étant mon temps d’attente, une conversation serait distrayante !
- Bonjour, Mademoiselle, longue aussi votre attente ?
Se tournant, sourire aux lèvres, elle soupire
- Oh oui, presque deux heures !! Et vous, Madame ?
Tout autant, fut ma réponse. Le dialogue s’engagea, doucement, tout d’abord, elle se présenta :
- Radegonde est mon prénom... non, non ne riez pas il me vient d’une très ancienne aïeule qui le portait déjà, le porter dans mon enfance fut dur, les enfants sont cruels mais de nos jours, mes amis volontiers l’acceptent…
- Radegonde, lui dis-je votre prénom me plait
Et notre bavardage se poursuivi avec gaité, notre séparation se fit sur un baiser…
Une amitié venait de naître !!!
Monelle – janvier 2012
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